Des heures sur les genoux à emboîter des lattes de plancher, à respirer et à ramasser la poussière du chantier quotidien. Des kilomètres parcourus dans les marches des escaliers, à monter et descendre des échelles, des escabeaux et des échafaudages.
En admirant le fleuve, jamais pareil, du haut de notre nid en construction. Du bonheur qui raque.